Restauration de l’aqueduc de la Canaou à Cavaillon

Pour les uns depuis 2010, la "restauration" milite pour la destruction des ouvrages hydrauliques. Le paradoxe national est avéré car pour la Fondation du patrimoine et pour Stéphane BERN, la restauration, par exemple, signifie la sauvegarde d’un ouvrage édifié au 15ème siècle, resté en fonction jusqu’au 19ème siècle. Une bagatelle. … Lire la suite...

Stratégie régionale pour la biodiversité en Nouvelle Aquitaine… et ailleurs.

Le titre est aussi fumeux que le concept, imaginant que la biodiversité puisse être une stratégie. La biodiversité est d’abord un facteur naturel impacté par diverses pratiques anthropiques : industrielles, agricoles, forestières, sociales, puis des Collectivités territoriales, des Organismes publics et des aménagistes. L’exposé sur : • « les changements d’usage des … Lire la suite...

Remous à Ruoms, le préfet assèche l’Ardèche

Arguant, sur simple avis sans preuve, d'un problème de sécurité lié à des fuites sur la chaussée des Brasseries, le préfet a signé un arrêté dans la précipitation exigeant de lever les vannes, vidant ainsi la retenue d’eau en amont.   Officiellement, il s’agit de protéger les nombreux usagers de canoë-kayak … Lire la suite...

Gestion de l’eau par arrêtés préfectoraux, nonobstant un réseau hydraulique

Dans les Cévennes, on note là aussi la contradiction entre les restrictions d'usage de l'eau par arrêtés préfectoraux et la présence d'ouvrages hydrauliques pouvant présenter un intérêt dans la gestion quantitative de l’eau. Le paradoxe est national. Le Conseil scientifique de l’institution « Entente interdépartementale des Causses et des Cévennes » basée … Lire la suite...

Quel rapport entre Continuité écologique, les pathologies en conchyliculture et la fermeture des plages. Seraient-ce les pollutions ?

Le principe de la gestion des pollutions depuis 30 ans, c’est le  "tout et au plus vite dans l’océan", stations d’épuration comprises. Au lieu de traiter les pollutions depuis les têtes de bassins versants, cela permet de déléguer le "tout à la mer" au formidable pouvoir épurateur des océans. Sauf … Lire la suite...

Le Cérou, on s’en fout ?

Les pollutions, il y a celles visibles comme ces hydrocarbures et toutes celles invisibles. La DDT, elle, ne s’en fout pas du tout du Cérou. Elle stigmatise prioritairement les moulins auxquels elle attribue la dégradation de la qualité des eaux. Avec des PV et des rapports de manquements administratifs à … Lire la suite...