Inondations-sécheresses-qualité de l'eau. Face à ces trois éléments majeurs sur lesquels elle est censée agir, l'administration de l'eau et de la biodiversité a de plus en plus de mal à justifier la casse du patrimoine hydraulique français par la lorgnette radicale et contestée de la continuité dite "écologique". Aussi recourt-elle … Lire la suite...
Flux de résultats de la recherche pour "canal "
L’ONEMA avait inventorié ~60 000 seuils en 2010 et d’insister sur les 90% sans usage économique avéré. Nous étions en droit d’attendre, dans le cadre de la transition énergétique, de la redynamisation des territoires ruraux et à l’aune de l’intérêt général, qu’un programme ambitieux réduise ce pourcentage et remette les sites … Lire la suite...
Propos empreints de bon sens du député Fabrice BRUN : « stocker l’eau excédentaire, valoriser les barrages, les moulins et le patrimoine hydraulique ». Ce discours politique est assez largement majoritaire. Le dogme administratif tient un discours dominant totalement différent, au mépris de la démocratie. La succession sans transition de sécheresses et … Lire la suite...
De multiples prescriptions restrictives depuis la LEMA 2006 sont le corollaire du postulat désignant coupable n°1 les ouvrages hydrauliques soupçonnés de dégrader la qualité des masses d’eau. Chaque fois que l’homme a procédé à des aménagements, il y a certes eu « impacts », négatifs et positifs. Mais de là … Lire la suite...
La moule perlière du Maroc figure parmi les 100 espèces les plus menacées au monde. Une équipe de chercheurs vient de montrer qu'elle trouve refuge dans des canaux d'irrigation au même titre que dans la rivière où ces canaux s'alimentent. Ils appellent de toute urgence la communauté des chercheurs et … Lire la suite...
Le canal de Berry, ouvrage hydraulique remarquable édifié vers 1830, couvert sur certains tronçons par le réseau routier, "creusé de la main de l’homme" comme un étang ou le bief d’un moulin, mériterait à ce titre l’opprobre dogmatique. Qui plus est, selon le terme consacré, il n’a plus d’usage. Il … Lire la suite...
Le débit réservé (sous entendu aux espèces piscicoles) est une notion légitime. Qu'il y ait ou pas de tronçon court-circuité (TCC) par un canal de dérivation de l’eau, il permet d'assurer à la rivière un débit qui doit être au minimum de 10%. L’article L.214-18 du code de l’environnement expose … Lire la suite...
Le monde à l’envers : la préfète et son administration ne veulent pas restaurer un barrage qui offre pourtant moult multifonctionnalités. C’est une association qui défend l’intérêt général depuis 2007. En 2019, son action n’est pas encore couronnée de succès. Les élus locaux prônent pourtant à bon escient la valorisation … Lire la suite...
Le poisson d’élevage était considéré avec un profond dédain. Les pisciculteurs avaient pourtant une longueur d’avance avec leurs Groupements de défense sanitaire (GDS). Le poisson sauvage était gage de qualité. Il inspire désormais la plus grande défiance depuis que la pollution inquiétante des cours d’eau n’est plus un secret bien … Lire la suite...
La sécheresse a le dos large. C’est la continuité écologique qui menace les fondations du château de Chenonceau. Les apprentis sorciers, obsédés par la circulation des espèces piscicoles, ne permettent plus de conserver la lame d’eau à sa cote historique au droit du château, second site des châteaux de la … Lire la suite...
En étudiant le système des canaux de la Durance et ses effets génétiques sur les populations de deux espèces de poissons (toxostome, hotu), six chercheurs montrent que les chenaux artificiels peuvent jouer un rôle positif dans la gestion de la biodiversité, particulièrement en milieu urbanisé. Ils soulignent l'intérêt d'une écologie … Lire la suite...
Cas du canal d’Elne, âgé de 1000 ans. Il est menacé par le dogme de la continuité écologique. Est-il décent de laisser des particuliers s’indigner, de ne pas les écouter, puis de les contraindre à s’organiser en associations pour défendre l’intérêt général(*) face à l’autorité administrative… celle précisément chargée de … Lire la suite...
Ils ne sont pas propriétaires d’ouvrages hydrauliques, ceux qui critiquent les modalités de mise en œuvre de la continuité écologique: ils sont riverains des cours d’eau. Les uns déplorent le dogme administratif, l’interprétation du code de l’environnement et les impacts directs des règles dogmatiques sur les usages ancestraux de l’eau. … Lire la suite...
L’apron ne remonte pas. Malgré la volonté administrative résultant du classement des cours d’eau en L2, il n’en a pas la capacité. Mais la loi exige qu’il remonte ! Le cours d’eau étant curieusement classé L2 (liste 2), le seuil de Joyeuse doit être "équipé" au titre de l’art L.214-17 CE. … Lire la suite...
Une équipe de chercheurs et ingénieurs français montre que les silures organisent leur chasse au niveau d'une passe à poissons de la Garonne et consomment jusqu'à 35% des saumons se présentant dans le dispositif. Le silure est un poisson originaire du Danube, introduit voici cinquante ans. Il représente donc une … Lire la suite...
Nous imaginions que la "Méthodologie de calcul du débit du droit d’eau fondé en titre" serait vite archivée et nous ne l’avions pas commentée en 2017. Comme elle a été "commandée" à l’IRSTEA, elle trouverait crédit au CNE ? Elle est pourtant erronée et dangereuse à bien des égards. Au lieu de … Lire la suite...
Souhaitons que ce type de manifestation d’intérêt général puisse susciter des projets... nonobstant la DEB qui freine des quatre fers et contrarie la DGEC. Ce sont les Dr Jekyll et Mr Hyde réunis dans le même ministère ! Discussion: la Direction de l’eau et de la Biodiversité (DEB) tente d’améliorer … Lire la suite...
Un Maire prendrait-il la décision de financer, sur fonds publics, la destruction de toutes les maisons "sans usage" de sa commune ? Le concept du "non usage" aurait fait l’objet d’un haussement d’épaules sans aucun écho avant le dogme de continuité écologique. Il a été tellement martelé en tir croisé par … Lire la suite...