
Frédéric Perissat semble avoir foi en son bréviaire. Il répète manifestement ce que les services de l’Etat lui ont inculqué. Quand on veut tuer un barrage on prétend qu'il a la rage. Pour la gestion quantitative de l'eau, il admettrait la pertinence du stockage d'eau douce. Mais quant à la … Lire la suite...