Quand l’écologie se bat contre les moulins

 

Le journal Le Point s’interroge sur l’absurdie de « libérer le cours d’eau » quoi qu’il en coûte au titre de l'écologie punitive. Et cela coûte en effet très cher aux finances publiques depuis 15 ans, sans pour autant améliorer d’un pouce la qualité de l’eau. Par contre, cette idéologie absurde vide l’eau douce retenue par les seuils de moulins et chaussées d’étangs vers l’océan.
Avec la fonte des glaces, il n’a pourtant pas besoin d’eau douce. Nous oui, semble -t-il ; alors, on continue les stupidités financées, ou on stocke l’eau excédentaire gravitaire ?

En 2022, tout le monde déplorait la pénurie d’eau, même les centrales nucléaires qui en évaporent des volumes importants.

Faisant fi de l’intérêt général, la doctrine écologico-administrative se gausse d’avoir détruit des milliers de moulins et d’étangs. Mais cette coalition reste notoirement incapable de faire la pluie, encore moins d’émettre la moindre prospective répondant aux besoins et aux enjeux de l’eau.
Leur seul diagnostic consiste à exiger les restrictions d’usage. Pour peu qu’ils puissent remplir leurs piscines discrètement la nuit, les autres usagers devraient pratiquer l’abstinence avec 1 seau d’eau par jour à aller puiser à la fontaine communale, pour revenir à une nature naturelle.

 

Article le Point

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