Continuité ou discontinuité écologique ?

La fragmentation des rivières a aussi des bénéfices.

A contre-courant de ses collègues, Frank J. Rahel rappelle dans la revue Bioscience (65, 5, 2013) que la fragmentation volontaire des milieux aquatiques peut aussi être une stratégie pour réduire l'impact des espèces invasives, éviter les croisements entre espèces sauvages et espèces d'élevage introduites avec désinvolture, prévenir l'accès à des milieux dangereux. En d'autres termes, il existe aussi... des discontinuités écologiques favorables. Elles semblent appréciées des pêcheurs qui cherchent leurs fameuses « souches », épargnées de tout impact anthropique.

http://www.jstor.org/discover/10.1525/bio.2013.63.5.9?uid=3738016&uid=2&uid=4&sid=21102610108147

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